Tu vis ta vie silencieusement,

Tu marches pas à pas furtivement,

Afin que vous vous fassiez surprendre,

Par un tel silence ,

Vous paraissez absente,

Vous vous glissez lentement,

Et vous vous projetez dans un futur inconsciemment,

Qui doit -être je suppose omniprésent !

Pourquoi vous vous conduisez lentement ?

Avez perdu votre âme ?

Au rythme du temps,

Vous vous retournez successivement ,

Et vous vous apercevez désespérément ,

Que cet individu est sous la forme d'un ange ,

Vous avancez prudemment ,

Peut-être il n'existe pas vraiment,

Où y a t-il une coïncidence,

Qui dois être une invention des gens ,

Ou qu'il en a qu'au firmament,

Mais je pense que sincèrement ,

Que c'est intérieurement ,

Qu'il se trouve spirituellement ,

L'être que vous voyez n'est qu'une apparence ,

Car l'ange qui est là simplement ,

Vous garde et vous conduit vers un endroit étrange,

Mais qu'il va disparaitre au fil du temps,

Mais vous serez toujours protéger activement,

Car il ne va pas vous abandonner maintenant …………….

Tu vis ta vie mon cœur,

Rien ne te tourmente que ton bonheur,

Mais tu le trouveras par cette chaleur,

Des qu'il y aura un rayon de fraicheur,

Tu trouveras mon cœur,

Ne me parle plus de malheur,

Il ne faut plus en tenir rigueur,

Je sais que tu vas en sortir vainqueur,

Surtout dans ce secteur,

Où tout le monde est de bonne humeur,

Et se lève de bonne heure,

Mais tu as acquis une certaine valeur,

Rien à faire des moqueurs,

Ils essayent de te faire peur,

Mais tu n'as rien à craindre de cette frayeur,

Ce sont seulement des testeurs,

Et des manipulateurs,

Mais tu dois le prendre en douceur,

Ce sont des survolteurs,

Ils viennet à toute heure,

Mais comme ils n'auront aucun successeur,

Ils partiront en sueur par cette chaleur,

Pour eux tu es le souffre douleur,

Mais tu es là dans toute ta splendeur,

Ils auront besoin d'un surveilleur,

Ou même d'un éducateur,

Il y a quelque rumeur,

Ce sont des trafiqueurs ,

Ils cherchent des recruteurs,

Mais ils obtiendront des videurs,

Ce ne sont que des amateurs,

Sans aucune pudeur,

Mais tu le sens à l'odeur,

Qui est vraiment d'uneloudeur,

Ils agissent avec lenteur,

Mais ce none pas des directeurs,

Que des menteurs,

Mon Dieu mais quel malheur ………..

Tu roules ta bosse mon petit bonhomme ,

Ça a l'air comique de te voir dans cet habit,

C'est même fantastique pat temps de pluie,

L'eau s'écoule et toi tu roules,

Mais tu es en déroutes,

Tout s'embrouille ,

Et moi ça me mouille,

Mais tu dois aller plus loin,

Ne t'arrêtes pas sur ce chemin

Il est plein de crailles,

Et tu te chamailles,

N's tu pas besoin d'une leçon de morale,

Ça a l'air d'être efficace,

Mais ne t'encombres pas de ce destin,

Il n'y a plus de place pou y faire face,

Regarde toi dans ton miroir ,

Comme tu es admirable,

Et tu es  présentable ,

Profites de la vie,

Tant que tu n'as pas de soucis ,

Et également des ennuis,

Tu veux fuir ce pays,

Oh ! non pas si vite ,

Tu penses un peu à l'avenir ?

Mais tu conserves tes rêves ?

C'est superbement le verbe,

Il se fait cher,

Mais tu es es fier quand même ,

Je vais tourner la page du passé,

Car le futur je ne le connais pas,

mais le présent est effectivement là ……...

Encore et encore j'espère ,

Et de jour en jour je désespére ,

Avec ce recul,

Je n'ai plus aucun but ,

J'avais encore un unique plaisir,

C'est de revoir cette flamme,

Et je ne vois plus rien venir,

Paix en ton âme,

Je disais à ce lieu ou tu t'assieds si souvent ,

Elle ne reviendra plus maintenant,

Elle est partie tristement,

Déçue et larmoyant,

Se fut un accident,

Qui va oser y croire,

Tout remonte à la surface,

Elle voulait de la tendresse ,

Elle recevait de la haine,

Mais quelle affreuse douleur,

Elle en prenait plein le cœur,

Personne ne la vit dans sa demeure,

Car elle ne sortait plus aucun bonheur,

Chez elle régnait une crainte,

Mais personne ne se plaint ,

Ne la voyant plus pendant des semaines,

Ils ce sont aperçus quand même ,

Quelle était là recroquevillée sur elle même,

La tristesse , la détresse qui l'accompagne sans cesse,

Et elle demande autour d'elle,

Avez vous pitié de mes douleurs extrêmes ,

Personne ne lui répondait ,

Seul son oiseau se mit à siffler ,

Et depuis ce temps là durant ce siècle de douleur,

Elle termina sa vie comme une malheureuse ………….

Vivre pendant quelques semaines ,

En communion avec la nature c'est une merveille,

Vivre sur une île déserte,

C'est aussi une belle découverte,

Mais il faut y penser,

Et savoir le réaliser,

Car tout est difficile à contrôler ,

Vivre en toute liberté,

Il n'y a pas de secret ,

Il faut pouvoir avancer ,

La vie n'est pas si tranquille,

Comme on le dit,

Il faut savoir faire des abstractions ,

Des divisions et des donations ,

Un beau mot qui n'est pas souvent utilisé,

De mettre un peu d'animation,

Dans cette situation qui est dure à gérer ,

Une ivresse de bonheur ,réunis et partager,

Mais la vie est si compliquée,

Qu'on ne sait même plus s'organiser ,

Sur une île le décor est différent ,

Pourquoi ce désir soudain d'isolement,

Trop de bruit et de mouvement,

Trop d'agitation et d'énervement,

Le monde devient de plus en plus épuisant,

Et également énervant,

Toujours à demander de l'argent,

Pour vivre bon si c'est le cas vraiment,

Je veux bien mais en réalité c'est faux ,

Et c'est pourtant qu'un simple mot,

J'aimerais vivre dans un coin paisiblement,

À l'air du temps vraiment,

Voir les étoiles qui brillent c'est plutôt rassurant,

Et vivre sereinement ce n'est pas si simple pour autant ,

Vivre en chantant c'est un dépaysement,

Qui est parfois gratifiant …….